se connecter
On ne voyait que le bonheur Par Grégoire Delacourt
Donnez votre avis
1,00 €
TTC
livraison sous 3-15 jours (selon transporteur)
Dans On ne voyait que le bonheur, Grégoire Delacourt se glisse dans la peau d'un assureur pour nous parler d'amour, de manque, d'absence et de pardon. Son histoire, celle d'un homme de 50 ans qui fait le point sur son existence tandis qu'il est en train de perdre son père, est très touchante et haletante. Alors que son héros se demande combien vaut son existence et celle de ceux qui l'ont mis au monde, on s'interroge sur notre propre vie. Et quand il semble se libérer, on se dirige avec lui vers la lumière. Très joli.
27E7V10
Fiche technique
- Auteur
- Grégoire Delacourt
- État des livres
- Très bon état
- Format du livre
- Livre de poche (moins de 19cm)
- Edition
- Le livre de poche
- Référence de stock
- REF-E3A
Littérature française
accueil
La dame du soir...Le narrateur revient dans son village natal et observe depuis sa maison une femme recluse qui sort sporadiquement en limousine pour choisir un...
1,00 €
Prix
espace-livres
Un Homme, Un...Charlie Croker, richissime promoteur de soixante ans, a bâti son immense empire à Atlanta. Il est le symbole de l'Amérique blanche triomphante -...
3,00 €
Prix
espace-livres
L Angélus du...Le temps et les hommes passent sur le Royaume du Nord... À Val Cadieu, le long de la rivière Harricana, tous sont morts ou partis. Koliare,...
2,00 €
Prix
accueil
L'Aîné des...Du jour ou elle entre dans une pub de Rayan Devaney Maggie sait qu'elle vient de rencontrer l'homme de sa vie et de trouver la place qu'elle a si...
1,00 €
Prix
Dans On ne voyait que le bonheur, Grégoire Delacourt se glisse dans la peau d'un assureur pour nous parler d'amour, de manque, d'absence et de pardon. Son histoire, celle d'un homme de 50 ans qui fait le point sur son existence tandis qu'il est en train de perdre son père, est très touchante et haletante. Alors que son héros se demande combien vaut son existence et celle de ceux qui l'ont mis au monde, on s'interroge sur notre propre vie. Et quand il semble se libérer, on se dirige avec lui vers la lumière. Très joli.
