se connecter
L'homme qui voulait vivre sa vie Par Douglas KENNEDY
1,00 €
TTC
Retrait gratuit sur Montélimar (26), les frais de livraison varient en fonction du choix du transporteur.
Un poste important, une vaste maison, une femme élégante, un bébé : pour tout le monde, Ben Bradford a réussi. Pourtant à ses yeux, rien n'est moins sûr : de son rêve d'enfant – être photographe – il ne reste plus rien. S'il possède les appareils photo les plus perfectionnés, les occasions de s'en servir sont rares. Et le sentiment d'être un imposteur dans sa propre existence est de plus en plus fort... " Douglas Kennedy bouillonne de talent, sa narration est haletante, sa construction sans faille. " Martine Laval – Télérama
| Info produit | |
|---|---|
| Auteur | Douglas KENNEDY |
| État du produit | Bon état |
| Format du produit | Livre de poche |
| Edition | |
9782266194600
1 Article
Fiche technique
- Référence de stock
- LOC2-M07
Références spécifiques
- ISBN
- 9782266194600
- MPN
- 9782266194600
littérature internationale
livres
Énorme...Avec sa drôlerie et son ton inégalable, Grace Paley met en scène les drames de la vie quotidienne dans le New York des années 60. Drôle et...
1,00 €
Prix
accueil
Le violon...Ce roman poignant, inspiré de faits réels, nous plonge au cœur du camp d'extermination d'Auschwitz. L'auteur, Maria Angels Anglada, raconte...
2,00 €
Prix
accueil
La Sagesse du...Le Père Brown est un prêtre qui fait le métier de détective, et dont Chesterton raconte les exploits dans une série de recueils. Ici, on verra un...
2,00 €
Prix
Un poste important, une vaste maison, une femme élégante, un bébé : pour tout le monde, Ben Bradford a réussi. Pourtant à ses yeux, rien n'est moins sûr : de son rêve d'enfant – être photographe – il ne reste plus rien. S'il possède les appareils photo les plus perfectionnés, les occasions de s'en servir sont rares. Et le sentiment d'être un imposteur dans sa propre existence est de plus en plus fort... " Douglas Kennedy bouillonne de talent, sa narration est haletante, sa construction sans faille. " Martine Laval – Télérama