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Il pleut, embrasse-moi - Journal 6 de Pascal Sevran
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Morterolles, 8 aoút 2004 ' Et les cloches de l'église qui ne sonnent plus. Il me semble pourtant les entendre, parfois, au bout de mon silence. Quelle heure est-il exactement ? J'ai dîné seul sur la terrasse. Christiane m'avait laissé des blinis et du saumon. J'ai bu de la vodka et je me demandais : quelle heure est-il dans ma vie ? Sur cette terrasse abritée par le tilleul, les derniers beaux soirs remontent à lui. Tous les étés de sa jeunesse ici se confondent maintenant avec le temps qui passe. ' ' Sevran a du style, du rythme, une langueur qui flirte entre fanfare et mélancolie. ' Pierre Vavasseur, Le Parisien
Morterolles, 8 aoút 2004 ' Et les cloches de l'église qui ne sonnent plus. Il me semble pourtant les entendre, parfois, au bout de mon silence. Quelle heure est-il exactement ? J'ai dîné seul sur la terrasse. Christiane m'avait laissé des blinis et du saumon. J'ai bu de la vodka et je me demandais : quelle heure est-il dans ma vie ? Sur cette terrasse abritée par le tilleul, les derniers beaux soirs remontent à lui. Tous les étés de sa jeunesse ici se confondent maintenant avec le temps qui passe. ' ' Sevran a du style, du rythme, une langueur qui flirte entre fanfare et mélancolie. ' Pierre Vavasseur, Le Parisien
9782226156686
Fiche technique
- Auteur
- Pascal Sevran
- État des livres
- Très bon état
- Format du livre
- format standard (entre 19cm et 25cm)
- Edition
- Albin Michel
- Année de sortie
- 2005
- Référence de stock
- LOC2-L08
Littérature française
accueil
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2,00 €
Prix
Morterolles, 8 aoút 2004 ' Et les cloches de l'église qui ne sonnent plus. Il me semble pourtant les entendre, parfois, au bout de mon silence. Quelle heure est-il exactement ? J'ai dîné seul sur la terrasse. Christiane m'avait laissé des blinis et du saumon. J'ai bu de la vodka et je me demandais : quelle heure est-il dans ma vie ? Sur cette terrasse abritée par le tilleul, les derniers beaux soirs remontent à lui. Tous les étés de sa jeunesse ici se confondent maintenant avec le temps qui passe. ' ' Sevran a du style, du rythme, une langueur qui flirte entre fanfare et mélancolie. ' Pierre Vavasseur, Le Parisien
