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Comment en suis-je venu à m'intéresser au sort de Deborah Lifchitz, pour quelle raison ai-je un jour résolu de m'attacher au destin de cette femme dont l'existence ne me fut révélée que par hasard, au travers d'une émission sur les rites et coutumes du peuple dogon ? La seule explication que l'on peut avancer est l'étrange coÎncidence qui, peu après que j'eus entendu son nom pour la première fois, me fit à nouveau croiser sa route dans un environnement cette fois bien différent : loin des Dogon, de leurs masques et de leurs danses rituelles, Deborah Lifchitz brúlait des lettres dans une obscure caserne de l'est de Paris en attendant son transfert pour Drancy...