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Robert Surcouf, Jean kart, le chevalier Forhin, René Duguay-Trouin, les frères Barberousse, Jeanne de Belleville, Mme Ching... Qu'ils fussent pirates ou corsaires du Roi, vénitiens, français, turcs ou chinois, ils hantèrent les cauchemars de ceux qui partaient en mer. Courageux ou cruels, hommes ou femmes, ces personnages d'exception ont nourri nos songes d'aventures, de liberté et de sang. Ils épouvantaient les loups de mer les plus aguerris, prenant d'assaut leurs navires ires chargés d'épices, de vaisselle précieuse, de perles, d'émeraudes, de topaze, d'or et d'argent Mais eux-mêmes se retrouvaient souvent pourchassés par des escadres ennemies, sans refuge, ne devant leur salut qu'à leur adresse à se fondre dans l'immensité marine. D'un còté, les pirates, sans autres lois que celles, violentes, des butins matériels et humains. De l'autre, munis de lettres de marques et de représailles, les corsaires agissaient au nom d'un roi ou d'un Etat et s'attaquaient aux ennemis déclarés de ceux-ci. Etrange communauté, ces maîtres des mers, refusant les contraintes terriennes, épris de grands espaces, rêvant d'un monde meilleur. Nobles patriotes Ou assassins cupides, mécontents de toutes classes, fédérant les déshérités comme les brigands, ces prédateurs des mers faisaient trembler les puissants. Ils respectaient parlais le code de l'honneur, écumant de siècle en siècle les castes flots à la recherche : de leurs proies. Après avoir traité des ' découvreurs ' dans un précédent volume, Rêveurs des mers, Olivier et Patrick Poivre d'Arvor poursuivent leur série consacrée aux grands marins du monde. Dans la lignée de Daniel Defoe, les auteurs nous entraînent, d'une plume alerte, de l'Antiquité au XIXe siècle, sur la trace de ce monde fascinant qui balance entre utopie et révolte.