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Je m'appelle Ed et je suis un sale crétin alcoolique et drogué. ' Cette phrase, qui ouvre le roman, revient comme un leitmotiv, d'une brutalité sans appel. Après avoir été quitté par sa femme et ses enfants, Ed tente de décrocher du crack et de l'alcool qui l'ont amené à la plus extrême déchéance. Il rejoint les rangs de ' Drogues Dures Anonymes ', une association semblable à un échantillonnage grotesque, pitoyable, terrifiant, de ce que New York peut compter de gens en perdition. Le programme de sevrage de l'association comporte douze étapes, mais Ed est pressé : aux grands maux, les grands remèdes, et le moyen qu'il a trouvé pour ne pas retomber dans les bras de ' Scotty ', (le crack, dans l'argot des drogués américains), le fait plonger dans une autre dépendance aussi sanglante que cocasse... Envoie-moi au ciel, Scotty, est un livre qui ne ressemble à rien de connu. Dròle, touffu, brillant, inventif, il donne une nouvelle image de la solitude du drogué dans l'enfer de New York, une image dròle à faire mal, à la manière de William Burroughs ou Hubert Selby Jr.