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'Don Juan est un géant blessé dès le départ, il a épuisé sa vie, brúlé ses dernières cartouches, comme le héros de Malcolm Lowry dans Au-dessous du volcan. Don Juan, c'est ce consul qui va au rendez-vous inéluctable de la mort, en quelques jours, en quelques heures. La fin reste ouverte, et il est très important qu'elle le reste. Je ne connais d'ailleurs aucune pièce de Molière qui n'ait pas une fin ouverte et ambiguë.Molière mélange le tragique et le comique, ce qui est le genre même de la comédie. Mais je crois surtout que ce film est très proche du type des contes et légendes. Il y a quelque chose de légendaire dans le récit, une légende mise en film, et aussi une errance méditative.'Jacques Weber.