Le respect de votre vie privée est notre priorité En poursuivant votre navigation sur ce site, vous devez accepter l’utilisation et l'écriture de Cookies sur votre appareil connecté. Ces Cookies (petits fichiers texte) permettent de suivre votre navigation, actualiser votre panier, vous reconnaitre lors de votre prochaine visite et sécuriser votre connexion. Nous vous informons que conformément à la loi « informatique et libertés » vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification, de portabilité et d’effacement de vos données ou encore de limitation du traitement. Vous pouvez également, pour des motifs légitimes, vous opposer au traitement des données vous concernant. Vous pouvez, sous réserve de la production d’un justificatif d’identité valide, exercer vos droits en nous contactant .
Aoút 1968, un jeune déserteur antifasciste, Alekos Panagoulis, tente de faire sauter la Lincoln noire du chef de la Junte militaire au pouvoir, Georges Papadopoulos ; l'attentat, mal préparé, échoue. Arrêté, condamné à mort, mais laissé vivant au prix de plusieurs simulacres d'exécution, évadé puis repris, Panagoulis passera en tout cinq années en prison. Torturé pendant sa détention, il résiste en écrivant des poèmes. Grâcié à son corps défendant et libéré en 73, il menace de dynamiter l'Acropole, renonce puis s'exile en Italie. En mai 76, à 38 ans, il trouve la mort dans un très mystérieux accident de voiture... La journaliste italienne Oriana Fallaci a rencontré Panagoulis à Athènes, à sa sortie de prison, pour l'interviewer. C'est le début d'une passion qui va durer trois ans, jusqu'à la mort du héros. Du personnage, du destin fascinants du poète terroriste Panagoulis, de leur vie, de leurs discussions communes, elle tire un portrait envoútant, une déchirante lettre posthume. Un homme, grec : Alekos Panagoulis, qui tenta de tuer en 1968 Papadopoulos, chef de la junte militaire au pouvoir depuis plus d'un an, et fut torturé, condamné à mort, puis gracié contre son gré après cinq ans de prison. Elu député après la chute des colonels, il s'acharnera à prouver les liens du ministre de la Défense avec les dictateurs. Mort en 1976, à trente-huit ans, dans un très mystérieux accident de voiture... Une femme, italienne : Oriana Fallaci, écrivain, reporter, de réputation mondiale, qui vécut les trois dernières années de Panagoulis à ses còtés. Un livre, succès international : roman-vérité, roman policier, lettre d'amour déchirante et rageuse, qui révèle le destin exemplaire et tragique d'un poète terroriste, militant de l'impossible.