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C'est une affaire entendue depuis des dizaines d'années : dans les bistrots, les ateliers, les salles d'attente ou les chaumières ; à Grenoble ou ailleurs, on appelle Le Dauphiné Libéré le ' Daubé '. Ce surnom lui va si bien, résonne tellement comme une évidence que personne ne se donne la peine de l'expliquer. D'oü vient-il ? Un hasard, un mauvais jeu de mots ? On ne sait pas. Le Dauphiné Libéré est daubé, voilà tout. Pourquoi perdre son temps à le démontrer ? Mais à trop se reposer sur cet acquis, on en ignore les enseignements. Car chercher à comprendre pourquoi Le Dauphiné Libéré est daubé permet bien plus que de s'interroger sur le bien-fondé d'un surnom. Cela permet de faire un voyage au coeur de l'histoire de la Presse Quotidienne Régionale, de la presse en général et de la vie politique grenobloise et d'en tirer des éléments de compréhension et de critique du monde dans lequel on vit. Tel est le but de ce livre qui se penche sur l'histoire, le développement et le fonctionnement actuel du Daubé. À propos de l'auteur Le postillon est un journal de l'agglomération grenobloise paraissant à l'improviste. Son but est de traiter de sujets locaux avec esprit critique. Le numéro 0 est paru en mai 2009, le numéro 7 en octobre 2010. Imprimé à 1 500 exemplaires, il est vendu à 1 euro à la criée (dans les manifestations, sur les marchés) ainsi que dans une trentaine de tabac-presse et quelques autres commerces ou lieux associatifs.