Le respect de votre vie privée est notre priorité En poursuivant votre navigation sur ce site, vous devez accepter l’utilisation et l'écriture de Cookies sur votre appareil connecté. Ces Cookies (petits fichiers texte) permettent de suivre votre navigation, actualiser votre panier, vous reconnaitre lors de votre prochaine visite et sécuriser votre connexion. Nous vous informons que conformément à la loi « informatique et libertés » vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification, de portabilité et d’effacement de vos données ou encore de limitation du traitement. Vous pouvez également, pour des motifs légitimes, vous opposer au traitement des données vous concernant. Vous pouvez, sous réserve de la production d’un justificatif d’identité valide, exercer vos droits en nous contactant .
Non, non, non, elle n'est pas si sexy. Pas sexy du tout. Ah bon ? Si elle a de la beauté, et elle en a, plus que de la beauté, autre chose que de la beauté, personne ne sait exactement ce que c'est, la beauté, la sienne est généralement ramenée au cliché de la beauté slave, sensuelle et froide. Pour l'instant, elle la gomme. Elle s'oblige, sans y penser, à la gommer ou à ne garder que la froideur.
Ou elle y est obligée, question de survie. Comme étrangère, Russe en France, elle n'a pas le droit de travailler, elle vient tout juste de se faire embaucher à Nice par le couple Matisse, petit contrat de rien, sans se faire trop remarquer. La Delector met en scène Lydia Delectorskaya, collaboratrice et proche du peintre Henri Matisse. Il est tout, elle n'est rien.