se connecter
Les promos
livres
The Magnificent...Catalogue d’exception, « The Magnificent Jewels of Caroline Ryan Foulke, Part II » présente une collection remarquable de bijoux ayant appartenu à...
18,00 €
Prix habituel
-10%
20,00 €
Prix
accueil
Mieux peindre à...Tout savoir sur le matériel et les techniques, avec des projets à réaliser en suivant les instructions étapes par étapes
Par Ian Sidaway
7,60 €
Prix habituel
-5%
8,00 €
Prix
livres
Maladies...À l'heure des voyages lointains et de la globalisation, la frontière entre les pathologies d'ailleurs et celles d'ici est de plus en plus poreuse....
4,20 €
Prix habituel
-30%
6,00 €
Prix
L'art français de la guerre Prix Goncourt 2011 Par Alexis Jenni
2,00 €
TTC
Retrait gratuit sur Montélimar (26), les frais de livraison varient en fonction du choix du transporteur.
«J'allais mal ; tout va mal ; j'attendais la fin. Quand j'ai rencontré Victorien Salagnon, il ne pouvait être pire, il l'avait faite la guerre de vingt ans qui nous obsède, qui n'arrive pas à finir, il avait parcouru le monde avec sa bande armée, il devait avoir du sang jusqu'aux coudes. Mais il m'a appris à peindre. Il devait être le seul peintre de toute l'armée coloniale, mais là-bas on ne faisait pas attention à ces détails. Il m'apprit à peindre, et en échange je lui écrivis son histoire. Il dit, et je pus montrer, et je vis le fleuve de sang qui traverse ma ville si paisible, je vis l'art français de la guerre qui ne change pas, et je vis l'émeute qui vient toujours pour les mêmes raisons, des raisons françaises qui ne changent pas.» Alexis Jenni.
9782070134588
1 Article
Fiche technique
- Référence de stock
- LOC3-1B7
Références spécifiques
- ISBN
- 9782070134588
- MPN
- 9782070134588
Littérature française
accueil
Le coeur à la...Plongez dans les souvenirs d'enfance de Daniel Picouly, au cœur d'un quartier populaire de la banlieue parisienne. Le cœur à la craie est le récit...
2,00 €
Prix
«J'allais mal ; tout va mal ; j'attendais la fin. Quand j'ai rencontré Victorien Salagnon, il ne pouvait être pire, il l'avait faite la guerre de vingt ans qui nous obsède, qui n'arrive pas à finir, il avait parcouru le monde avec sa bande armée, il devait avoir du sang jusqu'aux coudes. Mais il m'a appris à peindre. Il devait être le seul peintre de toute l'armée coloniale, mais là-bas on ne faisait pas attention à ces détails. Il m'apprit à peindre, et en échange je lui écrivis son histoire. Il dit, et je pus montrer, et je vis le fleuve de sang qui traverse ma ville si paisible, je vis l'art français de la guerre qui ne change pas, et je vis l'émeute qui vient toujours pour les mêmes raisons, des raisons françaises qui ne changent pas.» Alexis Jenni.