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Laissez-moi souffrir, laissez-moi guérir, laissez-moi seule. Ne croyez pas que m'offrir l'amitié pour remplacer l'amour puisse m'être un baume ; c'en sera peut-être un quand je n'aurai plus mal. Mais j'ai mal ; et, quand j'ai mal, je m'éloigne sans retourner la tête. Ne me demandez pas de vous regarder par-dessus l'épaule et ne m'accompagnez pas de loin. Laissez-moi'. De retour au sanatorium, une jeune femme trouve la lettre de congé de son amant. Alors, elle écrit ces pages, qui ne sont pas une réponse destinée à être envoyée, mais bien un 'commentaire' sur la genèse et la fin d'un amour. Encensé de toutes parts depuis sa première parution confidentielle en 1933, ce court texte frappe par sa modernité