Le respect de votre vie privée est notre priorité En poursuivant votre navigation sur ce site, vous devez accepter l’utilisation et l'écriture de Cookies sur votre appareil connecté. Ces Cookies (petits fichiers texte) permettent de suivre votre navigation, actualiser votre panier, vous reconnaitre lors de votre prochaine visite et sécuriser votre connexion. Nous vous informons que conformément à la loi « informatique et libertés » vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification, de portabilité et d’effacement de vos données ou encore de limitation du traitement. Vous pouvez également, pour des motifs légitimes, vous opposer au traitement des données vous concernant. Vous pouvez, sous réserve de la production d’un justificatif d’identité valide, exercer vos droits en nous contactant .
Au début des années 1830, Balzac travaille à un ouvrage : les Scènes de la vie militaire, scènes parmi lesquelles il place un récit, La Bataille. En décembre 1834, il en parle encore avec assurance. Il promet un tableau de Paris au commencement du XVème siècle, une histoire du temps de Louis XIII, et, toujours, cette fameuse Bataille dont il précise l'époque, en y ajoutant Vue de l'Empire, 1809. Quelle bataille ? Wagram ? Marengo ? Arcole ? Non, Essling. En 1833, il écrit à Madame Hanska : 'Là, j'entreprends de vous initier à toutes les horreurs, à toutes les beautés d'un champ de bataille ; ma bataille, c'est Essling. Essling avec toutes ses conséquences.